Paul Hareng : le maçon aux mains merveilleuses

Claude Sylvanne et René Vadrot

€24.00

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Quand Paul Hareng guérissait l'Europe à Jargeau. C'est dans les années 1930 que le maçon gergolien Paul Hareng fait la connaissance de l'abbé Mermet à Olivet. Ce dernier lui fait découvrir des dons de radiesthésie. Après-guerre, Paul Hareng est devenu l'un des guérisseurs les plus connus de France, et une valse d'autocars amène à son domicile des flots de malades venus de la région parisienne, de l'Aube, de l'Yonne, mais également de Belgique, de Suisse ou d'Angleterre.

Des centaines de malades par semaine. Vieilles guimbardes, voitures de luxe, vélos, charrettes, toute sorte de véhicules stationnent devant la porte du guérisseur qui reçoit des centaines de malades par semaine. Cet afflux profite à l'économie et aux commerçants de la ville.

Paul Hareng en profite pour acheter différents biens immobiliers. L'hôtel du Cheval Blanc est aménagé pour loger une partie de ses patients. Oreillons, ulcère, paralysie, sciatique, méningite, rhumatisme, asthme, Paul Hareng soulage de tout.

Un succès tel qu'il inquiète l'Ordre des médecins, qui tente de faire un procès à Paul Hareng.

Peine perdue, la ferveur populaire est tellement importante pour le soutenir que le procès n'aura pas lieu. Paul Hareng s'éteint en 1968, emportant avec lui les secrets de son don.

Claude Sylvane et René Vadrot lui consacreront un ouvrage « Paul Hareng le maçon aux mains merveilleuses », en 1955.

190p

n°2/1952